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Un homme rend visite à l'ami de son fils, sous pretexte de changer le robinet de l'évier de la cuisine. Après s'être acquitté de sa tâche, il prie la jeune femme de bien vouloir débarrasser l'armoire de la chambre : son fils Damien la quitte, sa décision est irrévocable, et sa femme et lui tiennent à récupérer le meuble..

Dans le désert de cendre de l'Askja, au coeur de l'Islande, le corps d'une jeune femme assassinée reste introuvable.Près de Reykjavik, des traces de sang et une bouteille de vodka brisée au fond d'un cratère, mais là non plus, pas le moindre cadavre. Et dans les deux cas, des suspects à la mémoire défaillante. Ces crimes rappellent à l'inspecteur Kornelius Jakobson, de la police criminelle de Reykjavik, le fiasco judiciaire et policier qui a secoué l'Islande au milieu des années 70 : deux crimes sans cadavres, sans indices matériels, sans témoins, que des présumés coupables finissent par avouer sans pourtant en avoir le moindre souvenir. Après Heimaey, Ian Manook nous entraîne cette fois au coeur d'une Islande plus brute et plus sauvage, dans les rouages d'une machination politique qui révèle une toute autre facette de cette république exemplaire.

Reykjavik, au début des années 50. Sigvaldi et Helga décident de nommer leur deuxième fille ásta, d'après une grande héroïne de la littérature islandaise. Un prénom signifiant - à une lettre près - amour en islandais qui ne peut que porter chance à leur fille... Des années plus tard, Sigvaldi tombe d'une échelle et se remémore toute son existence : il n'a pas été un père à la hauteur, et la vie d'ásta n'a pas tenu cette promesse de bonheur.JÂon Kalman Stefánsson enjambe les époques et les pays pour nous raconter l'urgence autant que l'impossibilité d'aimer. à travers l'histoire de Sigvaldi et d'Helga puis, une génération plus tard, celle d'ásta et de JÂosef, il nous offre un superbe roman, lyrique et charnel, sur des sentiments plus grands que nous, et des vies qui s'enlisent malgré notre inlassable quœte du bonheur.

Découvre la Suède avec Minimiki ! Astrid arrive chez ses grands-parents avant Noël et découvre que leur cheval qu'elle adorait est mort de vieillesse. Elle est très triste et n'a envie de rien. En regardant un troupeau de rennes passer, elle découvre dans la neige des runes qui forment son nom. Et comme son nom signifie cavalière en ancien suédois, elle jette les runes de colère à l'idée de son cher cheval mort. Le soir de Noël, toute la famille sort regarder le ciel quand se déclenche une aurore boréale. Et dans la forêt qui borde la maison s'approche alors un cheval tout blanc, qui vient poser sa tête contre Astrid. Autour de son cou, un collier porte les runes au nom d'Astrid.Dès 4 ans.

Pendant les vacances, Tora et son papa iront camper au milieu des bêtes sauvages. Mais Papa est un peu ennuyeux. Il veut d¹abord faire des courses, rouler longtemps en voiture[xe2][x80][xa6] De plus, pour voir les bêtes sauvages, il faut regarder attentivement. Tora ne voit pas un seul animal. Papa regarde son GPS et ne voit rien non plus. Puis soudain, Tora voit l¹anaconda, les quatre hippopotames, le lion, le troupeau de girafes[xe2][x80][xa6] Mais son papa voit-il la même chose ?

Un imagier de Noël sur le modèle du code de la route. Avec des pièces amovibles.

A 20 ans, trois amis se font la promesse de participer à la construction du chemin de fer Paris-Orléans. Gustave travaille dans la voirie, Paul intègre les bureaux de la Compagnie et Emile après avoir commencé comme mécanicien devient conducteur.